Soigner l’anorexie
par des traitements naturels me semble complètement inconscient. C’est
parfaitement absurde quand on connait les dégâts considérables que peut faire
cette maladie.
Ce qui cependant
me semble absolument possible, c’est de profiter des aliments naturels, des
plantes et autres pour aider dans le processus de guérison.
Cela signifie
donc qu’il faut impérativement recommander la personne malade à un médecin et
au besoin à une équipe pluridisciplinaire. Quand un traitement est mis en
place, c’est-à-dire une prise éventuelle de médicaments, un suivi thérapeutique
et une prise en charge par un nutritionniste, rien n’empêche de consulter un
naturopathe, un sophrologue, un acupuncteur ou autre, pour faciliter la guérison.
À présent, voyons
ensemble quels genres de plantes peuvent être recommandées pour les personnes
anorexiques :
· La spiruline parce qu’elle est d’un niveau nutritionnel élevé et qu’elle
est souvent employée dans les pays pauvres.
· Les omégas 3 parce qu’ils facilitent l’absorption des nutriments.
Mais dans un
premier temps, il convient de rétablir un régime alimentaire adéquat. Ce qui
est difficile quand on sait que les anorexiques refusent de manger. Surtout si
on leur propose une alimentation qui contient des matières grasses.
Il faut pour
facilité ce travail, proposé des aliments riches en fibres. Les faire manger
beaucoup de fruits et de légumes. On peut aider par des plantes à détoxiquer le
corps.
Il faut éviter le
sucre blanc, les farines blanches, les conservateurs, les colorants…
Pour faciliter ce
travail sur la nourriture, il est évident qu’il faut l’intervention d’une
tierce personne. Ce n’est pas un membre de la famille qui pourra facilement
proposer un régime adéquat.
De toutes les façons,
il faut sensibiliser l’anorexique à son besoin vital de nourriture. Il doit être
rééduqué au goût et au plaisir de manger.
C’est pourquoi l’intervention
d’un pédopsychiatre est indispensable.
On peut aussi
surveiller les programmes de télévisions que regardent nos enfants. Les médias
laissent véhiculer tellement d’informations fausses par la publicité, qu’il
faut préserver nos enfants, surtout quand ils y sont sensibles.
Ce travail n’est
jamais simple, car on ne peut et l’on ne doit pas fliquer nos enfants, les
enfermer ni les obliger à se conformer totalement à nos points de vue. Mais
nous avons le devoir de les protéger et pour cela nous devons les convaincre de
nos bonnes intentions en nous faisant aider, nous aussi, au besoin par un psychologue.
La thérapie n’est
pas forcément que pour l’enfant. Si un problème concerne notre enfant, il
concerne donc notre famille et donc tous ces membres.
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